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Yahoo! ampute ses bénéfices pour payer des stock-options – Le Figaro Economie – 25 janvier 2007

La société californienne lance en février son nouvel outil publicitaire. TOUT faire pour regagner des parts de marché publicitaire. Tel est l’objectif de Yahoo!. Le géant américain de l’Internet mis à mal par Google a rassuré les marchés. Terry Semel, son président, a annoncé que son nouveau système publicitaire baptisé Panama va être lancé dès le 5 février. Il devait être disponible en mars. Selon certains experts, il pourrait permettre à Yahoo ! de vendre davantage de vidéos aux annonceurs. La croissance des revenus publicitaires « devrait être à deux chiffres au deuxième semestre 2007 », a assuré Susan Decker, directrice financière de Yahoo! Le groupe américain va également poursuivre sa stratégie d’acquisitions. « Cette année est une année de construction d’une vaste audience », assure Terry Semel. Cette nouvelle a fait oublier la baisse du régime du géant californien. Son bénéfice net du quatrième trimestre a chuté de 60,7 % pour tomber à 268,6 millions de dollars. Son résultat net annuel a été divisé par deux. Il n’est que de 751 millions de dollars contre 1,89 milliard de dollars. La suite sur www.lefigaro.fr   .  

Essillor troque les stock-options …. La tribune 2 fevrier 07 

Le fabricant français de verres ophtalmiques va attribuer des  » actions de performance  » à l’ensemble de ses salariés en France, en lieu et place des stock-options. Ces actions gratuites vont être distribuées aux quelque 4.000 salariés du groupe en France, alors que auparavant 1.000 personnes bénéficiaient de stock-options. La suite sur www.latribune.fr.

Actions gratuites, un cadeau très ciblé –Agefi hebdo – 1er février 2007

La loi rend désormais les actions gratuites plus attrayantes face aux stock-options. Mais cet outil profitera lui aussi avant tout aux élites.

Les étrennes de Generali à ses 7.000 salariés français en auront surpris plus d’un : le 11 janvier, la direction leur annonçait la distribution de 100 actions gratuites de Generali France. Un cadeau d’une valeur de 1.000 euros par tête, présenté comme une récompense « symbolique » après quatre années de réorganisation douloureuse. Mais aussi un habile coup médiatique permettant de mettre la société sous le feu des projecteurs juste après la promulgation de la loi pour le Développement de la participation et de l’actionnariat salarié (DPAS) du 30 décembre dernier.

Cette loi, voulue par Dominique de Villepin, intervient deux ans après l’amendement Balladur du 31 décembre 2004 qui instaurait le principe d’une distribution d’actions gratuites. Mais, alors que ce dernier créait en filigrane un nouvel outil de rémunération des dirigeants à l’horizon plus court que les stock-options (quatre ans au lieu de six minimum), la loi DPAS se veut plus démocratique. Son ambition est d’encourager le fameux « dividende du travail », cher au Premier ministre.

De fait, la nouvelle loi apporte des dispositions fiscales très incitatives pour les entreprises dont les plans visent l’ensemble du personnel. Une société a désormais la possibilité d’émettre des titres plutôt que de les racheter. Elle pourra en outre déduire de son impôt le prix des actions au moment de la souscription. Un véritable cadeau fiscal : « Non seulement cela ne coûte rien, hormis le coût de dilution pour les actionnaires, mais pour 100 euros d’actions distribuées, l’entreprise économise 33 euros d’impôt. C’est révolutionnaire car jusqu’à présent, l’administration fiscale avait toujours été opposée à ce type de déductibilité », souligne Bruno Fourage du cabinet Mercer.

Logiquement, on devrait donc s’attendre à une multiplication des plans sur le modèle de Generali France ou encore d’Alstom, premier groupe coté à se lancer, six mois plus tôt*. Et déjà, les sociétés de conseil en ressources humaines comme Altedia voient arriver les demandes : « Les plus intéressées sont les grandes entreprises du CAC 40. Les occasions sont rares de s’adresser ainsi à l’ensemble des salariés dans le monde quels que soient leur métier, leur revenu et leur culture. C’est un énorme coup de pub interne », confie Christine Benoit, directeur au pôle capital humain du cabinet, qui travaille actuellement sur plusieurs dossiers de distribution d’actions gratuites. Natixis a déjà avancé qu’il réfléchissait à un tel dispositif. La suite sur www.agefi.fr .

 

« Les actions gratuites conviennent bien aux jeunes cadres à potentiel » – Agefi Actifs – 1er février 2007

La loi encourage désormais les multinationales à distribuer des actions gratuites à leurs cadres basés à l’étranger. Or, ceux de BNP Paribas n’en ont pas profité.

La possibilité de prolonger la période d’acquisition à quatre ans permet, il est vrai, de ne pas léser sur le plan fiscal les cadres basés à l’étranger. Or, quatre ans, cela reste un délai trop long pour un cadre hors de France : la plupart des systèmes locaux permettent l’acquisition progressive des actions sur une durée de un à quatre ans, et non en totalité à la fin. Autre raison qui ne nous encourage pas à leur distribuer des actions gratuites dans ces nouvelles conditions « à la française » : cela instaurerait a contrario un traitement de faveur pour le cadre de France, qui pourrait quitter la société à partir de deux ans en conservant ses actions, alors que celui de l’étranger devrait attendre quatre ans. Ce n’est pas ce que j’appelle un « bon » plan de fidélisation et de rétention international. La suite sur www.agefiactifs.com

Bonne journée.

A propos Joptimiz.com

Nous avons créé ce blog sur l'épargne salariale et sa fiscalité en 2006. Nous sommes 4 fiscalistes d'entreprise. Nous avons également créé une plateforme d'assistance fiscale en ligne en 2006 ... www.joptimiz.com
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