Les stock-options vues par les syndicats

 

Nous avons trouvé ces articles sur le Net « Section Syndicale CFDT Renault Rueil Lardy » 

Extraits d’articles (les meilleurs !) … 

« Près de trois patrons du CAC 40 sur quatre ont gagné 40% de plus en 2007 qu’en 2006 ». 

« La rémunération annuelle médiane (salaire + bonus + stock option) des patrons des entreprises du CAC 40 de plus de 40.000 employés et de plus de 40 milliards de chiffre d’affaires s’élève à 6,175 millions d’euros. »

« Vu que le SMIC 35h vaut 1005,37 euros net / mois soit 12064,44 euros net / an, il faudra donc plus de 511 ans à un smicard pour réunir cette somme (en prenant une hypothèse de salaire constant). Notre smicard aurait donc commencé sa carrière en 1497 soit 42 ans après la parution du premier livre jamais imprimé. De quoi se lancer dans une carrière d’imprimeur. » 

« La rémunération des patrons des plus petites entreprises du SBF 120 atteint 882.000 euros, toujours selon Hay Group (spécialiste mondial des rétributions), cité par la Tribune.Cela ne nous fait plus que 73 ans de SMIC et un début de carrière en 1935 pour notre fidèle smicard. 1935 c’est quand même un an avant le premier gouvernement socialiste de France, le Front Populaire et l’arrivée de la civilisation des loisirs. » 

En savoir plus, cliquez ici >> 

Bonne journée

Publié dans Général | Un commentaire

Pensez à utiliser les avoirs indisponibles de votre PEE

Tous les salariés de l’entreprise peuvent bénéficier du Plan Epargne Entreprise. Les versements sont plafonnés chaque année, à 25 % de votre rémunération annuelle (brute déterminée en début d’année ou réellement versée si celle-ci est plus élevée), hors participation
 
Lorsque vous détenez des stock-options, l’utilisation de ce PEE peut être intéressante.
En effet, l’épargne qui est logée sur un PEE peut être débloquée, avant l’expiration du délai de 5 ans, pour lever de vos options de stock-options.
Cette opération n’entraîne que l’unique perception des prélèvements sociaux de 11 %.
 
Les actions ainsi souscrites devront alors être versées dans le PEE et rester indisponibles pendant 5 ans. Il n’y a cependant pas de cas de sortie anticipée (contrairement au PEE classique qui permet de retirer ses fonds pour acquérir la résidence principale par exemple, …).
 
Au terme des 5 ans, la plus-value dégagée à l’occasion de la cession des actions au terme des 5 ans, est exonérée d’impôt sur le revenu.
 
Attention pour que cela soit possible, il faut que cela soit prévu dans le règlement de votre  PEE.
 
Remarque : n’utilisez pas vos avoirs disponibles car cela n’est pas autorisé (sauf à les rendre de nouveau indisponibles)
 
Quel est l’intérêt :
 
Il est avant tout fiscal puisque vous n’aurez pas le paiement de l’impôt principal mais seulement les prélèvements sociaux de 11%.
Mais attention, le fait de lever vous fait prendre un risque financier. En effet, vous êtes alors exposé pleinement aux variations de cours de vos actions.
Il sera alors préférable d’utiliser en premier lieu vos versements de l’année (versements qui peuvent aller jusqu’à 25% maxi de votre salaire) qui auraient dus de toute manière rester bloqués pendant 5 ans, et que vous auriez investis dans le fonds d’actionnariat de votre entreprise.
 
Bonne journée

Publié dans Fiscalité stock-options | Laisser un commentaire

Résultats de l’étude de PricewaterhouseCoopers en 2007 sur les stock-options

 

Extraits du rapport de PricewaterhouseCoopers  

« Pour 97% des entreprises, les avantages des programmes de rémunération fondés sur les actions sont nettement supérieurs à leurs coûts. La tendance vers les instruments de participation liés aux résultats et aux performances est manifeste » 

« Les actionnaires veulent exercer une influence de plus en plus grande sur la composition et l’étendue de l’ensemble des rémunérations » 

« Parmi les sociétés sondées, 97%, contre 75% en 2006, confirment que les effets positifs des plans de participation des collaborateurs sont nettement supérieurs aux coûts qu’ils engendrent » 

« Cette tendance aux systèmes de rémunération à la performance continue également de se renforcer dans le monde entier et devrait également s’étendre aux éléments de salaire variables. Dans ce domaine, l’évolution des cours des actions ou le bénéfice par action (par rapport à un groupe de comparaison) de même que le cash-flow sont fréquemment utilisés en Europe comme unité de mesure de la rémunération. » 

« Environ 60% des entreprises sondées ont soumis leurs (nouveaux) plans de participation au vote de leurs actionnaires. Même si la majorité des plans a été approuvée, seule une moitié à peine de ces plans a obtenu plus de 90% de « oui ». » 

En savoir plus : http://www.presseportal.ch/fr 

Bonne journée

Publié dans Général | Laisser un commentaire

Petits rafraichissements sur la fiscalité des stock-options

Le mécanisme des stock-options permet aux salariés de bénéficier d’une possibilité de souscription ou d’achat de titres de leur société à un prix qui est définitivement fixé le jour où l’option leur est offerte. 

Mais le régime fiscal des stock-options a fait l’objet de nombreuses réformes dont la dernière en date, outre celle introduite par la loi TEPA (imposant la plus-value d’acquisition en cas de donation des titres issus des options attribuées à compter du 20 juin 2007), est issue de la loi NRE du 15 mai 2001 qui a réduit le délai d’indisponibilité de 5 à 4 ans et a alourdi la fiscalité sur la fraction annuelle de l’avantage qui excède 152 500 €.

Enfin, la loi NRE a institué des taux réduits en cas de portage supplémentaire de 2 ans minimum. Ainsi, en fonction de la date d’attribution des options, les gains sont soumis à des règles d’imposition différentes. 

Le régime fiscal applicable est différent selon la durée de conservation des titres par le bénéficiaire.

Pour les plans attribués à partir du 27 avril 2000, un délai d’indisponibilité de quatre ans entre la date d’attribution de l’option (c’est-à-dire la date où le conseil d’administration a consenti l’option) et la date de cession des titres est exigé pour bénéficier de taux réduits. Attention, c’est lors de la cession que les 2 impôts sont mis en recouvrement (plus value d’acquisition et plus-value de cession).  

La plus-value d’acquisition (pour les plans attribués à partir du 27 avril 2000) : Elle est égale à la différence entre le cours du titre au jour de la levée de l’option et le prix d’attribution de l’option (ou prix payé par le salarié). Le montant soumis à imposition est minoré du montant du rabais excédentaire (s’il y a rabais excédentaire naturellement) déjà imposé lors de la levée de l’option.  

Lorsque le délai d’indisponibilité a été respecté, la plus-value d’acquisition est soumise, sur option à un prélèvement libératoire forfaitaire, ou à l’impôt sur le revenu dans la catégorie des traitements ou salaires (faites le calcul, dans certain cas il est préférable d’opter pour l’IRPP) 

En cas de non respect de ce délai, la plus-value d’acquisition est obligatoirement imposée à l’IR dans la catégorie des traitements et salaires.  

Le montant du prélèvement libératoire forfaitaire dépend du délai de conservation des titres par le bénéficiaire :  

  • lorsque le délai d’indisponibilité de quatre ans a été respecté le taux du prélèvement est de 30% (hors prélèvements sociaux de 11%) si l’avantage est inférieur à 152.500 € et de 40% (hors prélèvements sociaux de 11%) au-delà.  
  • lorsque après l’achèvement du délai d’indisponibilité, le bénéficiaire respecte le délai de détention de 2 ans (4 + 2), le taux du prélèvement est ramené à 18% (hors prélèvements sociaux) si l’avantage est inférieur à 152.500 € et à 30% (hors prélèvements sociaux) au-delà.  

Les éventuelles plus-values de cession générées lors de la cession des titres suivront le régime des plus-values de valeurs mobilières.  

Bonne journée

Publié dans Fiscalité stock-options | Laisser un commentaire

Avez vous votre livret salarial ?

 

 

La loi « pour le développement de la participation et de l’actionnariat salarié et portant diverses dispositions d’ordre économique et social » (DPAS), adoptée le 30 décembre 2006, réforme également le livret d’épargne salariale.

Auparavant délivré au moment où le salarié quitte l’entreprise, le livret d’épargne salariale doit également être remis par l’entreprise qui a mis en place un dispositif d’intéressement, de participation, PEE, PEI ou PERCO, au salarié, lors de la conclusion de son contrat de travail. 

Ce livret rappelle les grandes lignes des dispositifs d’intéressement, de participation, de PEE, PEI ou PERCO.

Il est éventuellement complété par une attestation indiquant la nature et le montant des droits liés à la réserve spéciale de participation ainsi que la date à laquelle seront répartis les éventuels droits à intéressement ou à participation au titre de l’exercice en cours.  

Le livret a ainsi pour vocation :

  • de permettre au salarié de recevoir sans difficulté le remboursement éventuel de ses avoirs s’il décide de faire valoir la rupture de son contrat de travail comme cas de déblocage anticipé ; 
  • de transférer s’il le souhaite des sommes épargnées vers le plan d’épargne éventuel de son nouvel employeur, la période de blocage déjà courue étant prise en compte pour la durée de blocage restant à courir.  

Ainsi les titres issus de la levée de vos options ou des attributions gratuites d’actions et placés dans votre PEE pour bénéficier du régime fiscal de faveur devraient également apparaître dans ce livret salarial. 

Bonne journée

Publié dans Ressources Humaines | Un commentaire

Des stock-options pour tous les salariés

 

… exonérées d’impôts et de charges sociales, article de L’Agefi en date du 12 février 2008 

CroissancePlus présente son nouveau dispositif destiné à récompenser les bonnes pratiques. Des propositions transmises au gouvernement

« Des stock-options pour tous », tel est le maitre-mot de CroissancePlus. D’ailleurs, « le président Sarkozy a rejoint récemment notre opinion », se félicite Geoffroy Roux de Bézieux, président de CroissancePlus.

Face à un régime actuel complexe et peu encadré, l’association d’entrepreneurs propose un nouveau dispositif de stock-options et d’actions gratuites, venant pallier l’absence actuelle d’incitation fiscale et promouvoir de bonnes pratiques.

Se fondant sur le principe d’application d’un régime fiscal différent en fonction du nombre de salariés bénéficiaires, CroissancePlus propose deux types de plan, qui dans les deux hypothèses ne doivent pas bénéficier aux dirigeants sociaux à hauteur de plus de 10 %.

D’une part, le « plan vertueux universel », concernant l’ensemble des salariés – puisque tous participent à la croissance de l’entreprise – et offrant exonérations d’impôts et de charges sociales, tant pour l’entreprise que pour le salarié (excepté CSG et CRDS).

D’autre part, le « plan vertueux élargi », qui doit concerner au moins 10 % des salariés. Certains salariés peuvent préférer voir leur pouvoir d’achat immédiat augmenter grâce à l’intéressement ou à la participation, avec un taux d’imposition de 39 % à 43 % selon le temps passé dans l’entreprise.

En revanche, tous les autres plans de stock-options ou d’actions gratuites se voient appliquer une fiscalité et des charges sociales identiques à celles d’un salaire. « Une mesure essentielle pour récompenser les bonnes pratiques », justifie Geoffroy Roux de Bézieux.En outre, CroissancePlus réitère ses recommandations : la suppression de la décote lors de l’attribution de l’option, un prix d’exercice fixé sur la moyenne sur six mois, un droit d’exercice étalé sur 4 ans (soit 25 % par an), et la transparence lors de la cession.

En début d’année, le dirigeant s’engage sur le nombre de titres qu’il compte céder, par mois ou par trimestre. Ce qui évitera toutes suspicions, à l’instar de celles ayant pesé sur Noël Forgeard. En outre, le salarié ne peut plus exercer ses options une fois qu’il a quitté l’entreprise.

Croissance Plus a transmis ces propositions à l’Elysée, à Matignon et à Bercy, sans avoir pour le moment de retour précis. « C’est dans l’esprit de ce que veut le gouvernement, mais pas dans ses préoccupations immédiates », conclut Geoffroy Roux de Bézieux. 

Bonne journée

Publié dans Presse | Laisser un commentaire

Régime des impatriés commenté et amélioré

 

Les salariés exerçant, pour le compte d’un employeur établi à l’étranger et pour une période limitée, une activité professionnelle dans une entreprise établie en France bénéficient sous certaines conditions, d’une exonération temporaire d’impôt sur le revenu.  

En effet, il bénéficie d’une exonération de toute imposition de leur supplément de rémunération concernant leur activité sur le territoire français.

Il faut pour cela que le bénéficiaire n’ait pas été fiscalement domicilié en France de façon ininterrompue au cours des 5 années civiles (et non plus de 10) précédant celle de la prise de ses fonctions en France et qu’il fixe en France son domicile fiscal à compter de la prise de ses fonctions. 

Nouveauté 2008 : L’administration a publié une instruction commentant les aménagements qui concernent essentiellement la réduction de 10 ans à 5 ans ldu délai de non-domiciliation antérieure en France pour être éligible au dispositif. 

Le supplément de rémunération est exonéré pour son montant réel (tel que fixé dans le contrat de travail ou de mandat social) à la condition toutefois que la rémunération annuelle nette du salarié ou du mandataire soit au moins égale à celle perçue au titre de fonctions analogues dans la même entreprise ou, à défaut, dans des entreprises similaires établies en France.

Si ce n’est pas le cas, la différence résultant de cette comparaison est reprise dans la rémunération imposable du bénéficiaire. 

Ce régime est de plus cumulable avec les exonérations applicables pour les expatriés en mission à l’étranger (exonération du supplément de rémunération lié à l’expatriation). 

En savoir plus sur l’expatriation, cliquez ici >>

Attention cependant, lorsque le bénéficiaire impatrié est amené à effectuer des déplacements réguliers, la fraction exonérée ne peut pas excéder 20% de sa rémunération au titre de l’activité exercé en France.

Des questions restent cependant toujours en suspend :

  • si le salarié impatrié est bénéficiaire de stock-options, comment sera fiscalisée sa plus value d’acquisition (concernant la plus value de cession, celle ci sera imposable dans l’état de domiciliation donc en l’occurence en France) ?
  • si ce même salarié repart en mission à l’étranger, doit on effectuer un prorata de sa plus-value d’acquisition (comme le recommande l’OCDE) en fonction des jours travaillés en France pour définir qui imposera et pour quel montant ?

En savoir plus sur les stock-options en matière d’expatriation, cliquez ici >> 

Dans l’attente d’éclaircissements…

Bonne journée

Une question fiscale sur votre patrimoine ou vos stock-options ? cliquez ici >>

Publié dans Expatriation | Un commentaire

Stock-options et haute technologie

 

Nous avons trouvé une thèse très intéressante de l’Université PAUL CEZANNE (IAE) sur les politiques de rémunération des Dirigeants et investissements lies à l’innovation dans les industries de haute technologie en date du mois de janvier dernier.

www.cerog.org/fileadmin/files/cerog/wp/819.pdf

Extrait :

« La détention de stock-options par les dirigeants modifie leur attitude vis-à-vis du risquepuisque les stock-options n’impliquent aucun investissement financier lors de leur attributionet offrent la possibilité de réaliser des gains dans le cas d’une augmentation du cours desactions et aucune perte si le cours diminue (seulement un coût d’opportunité).

En général, un tel système de rémunération asymétrique où il existe un potentiel de gain mais aucun potentielde perte devrait conduire un dirigeant adverse au risque à préférer les décisions risquées(Sanders, 2001).

Néanmoins, les stock-options, dont la raison d’être est précisément demotiver chez le dirigeant une prise de risque suffisante, peuvent ne pas être efficaces quant àla promotion de l’innovation. 

Premièrement, dans la mesure où les dirigeants ne supportent plus les mêmes risques que lesactionnaires, le désir de maximiser la valeur de leurs options peut inciter les dirigeants lesmoins adverses à l’égard du risque à sélectionner des projets d’innovation trop risqués quiauraient été rejetés par les actionnaires (Desbrières, 1991). Deuxièmement, la théorieprospective de la prise de décision établie par Kahneman et Tversky (1979) aboutit à uneconclusion inverse : les sujets manifestent majoritairement une aversion à prendre des risquesen présence de gains, mais au contraire une propension à en prendre en présence de pertes.

En conséquence, dès lors que les stock-options ont un prix d’exercice en dessous du cours

actuel des actions, les dirigeants prendraient des décisions moins risquées quand ils considèrent que leur probabilité de réaliser des gains est très élevée. »

Lire l’étude complète : cliquez ici >>

Bonne journée

Publié dans Général | Un commentaire

L’affiche de la semaine ou comment mélanger Art et Business

Affiche du vernissage de la Jungle Art Galery

En savoir plus sur l’Art et l’impôt, cliquez ici >>

Bonne journée

Publié dans Général | Un commentaire

C’est bientôt l’heure des déclarations …

 

Nous allons bientôt recevoir nos déclarations fiscales.  

Pour vos stock-options, vous utiliserez les déclarations 2042 et 2042 C.  

Ces déclarations pourront être téléchargées sur le site des impôts : www.impots.gouv.fr   

Que devrez vous remplir sur la 2042 C ?      

Vous pourrez vous retrouver dans 2 situation en fonction du respect ou non du délai d’indisponibilité fiscale de 2 ans : 

  • Si vous avez respecté le délai d’indisponibilité fiscale : Les gains de cession d’options taxables à 30% doivent alors être déclarés ligne VI.  Les gains de cessions taxables à 40% doivent être déclarés en ligne VF.  Plutôt que la taxation à 30 % de ces gains, vous pouvez opter, si vous y trouver avantage, pour leur imposition selon les règles applicables en matière de traitements et salaires, vous porterez alors ces gains sur les lignes VJ ou VK. Les gains figurant sur la ligne VI, VJ ou VK seront soumis, dans tous les cas, à la CSG, à la CRDS, au prélèvement social de 2 % et à la contribution additionnelle de 0,3 % sur les revenus du patrimoine, soit un taux global de 11 %.      

  • Si vous n’avez pas respecté le délai d’indisponibilité fiscale de 4 ou 5 ans, vous devez déclarer le gain d’acquisition sur les lignes TV (moins de 2 ans), TW (entre 2 ans et 3 ans), TX (entre 3 et 4 ans), et TY (entre 4 et 5 ans).      

Et que déclare t’on sur la déclaration n° 2042 ?     

Les gains ou pertes concernant la partie plus-value d’acquisition se compensent avec les gains ou pertes déclarés lignes VG et VH (gain net ou perte de cession de valeurs mobilières et de droits sociaux. 

Vous pouvez dès à présent estimer votre impôt en cliquant ici >>  

Bonne journée ! 

Retrouvez vos dossiers Stock-options par société mis à jour des nouveautés fiscales 2008 (IR, ISF, optimisation fiscale …) en cliquant ici >>

Publié dans Fiscalité stock-options | Laisser un commentaire