Quelles sont les sociétés concernées par les BSPCE ?

5/5 - (4 votes)

Seules les sociétés qui remplissent cumulativement certaines conditions peuvent émettre des BSPCE au profit de leurs salariés et de certains de leurs dirigeants :

  • il doit s’agir d’une société par actions : SA, SAS, SCA ;
  • la société ne doit pas être cotée (c’est-à-dire que les titres ne doivent pas être admis à la négociation sur un marché réglementé ou organisé d’un Etat membre de l’Espace Économique Européen (EEE)) ou elle peut être côtée uniquement si sa capitalisation boursière est inférieure à 150 000 000 €.
  • la société doit être immatriculée depuis moins de 15 ans à la date d’attribution des bons. Les sociétés dont le siège est établi dans un état membre de l’Union européenne ou dans un État ou territoire ayant conclu avec la France une convention fiscale contenant une clause d’assistance administrative en vue de lutter contre la fraude ou l’évasion fiscale peuvent également en émettre lorsqu’elles sont inscrites dans un registre équivalent au RCS depuis moins de 15 ans. À défaut de l’existence d’un registre équivalent, la société doit être en mesure de fournir des éléments de preuve pertinents justifiant que la société a été créée depuis moins de 15 ans. Cette justification peut, par exemple, être apportée par la date de constitution telle que figurant dans les statuts de la société authentifiés ou enregistrés auprès de l’administration concernée ;
  • la société doit être soumise en France à l’impôt sur les sociétés ;
  • le capital doit être détenu, directement et de manière continue depuis leur création, pour 25 % au moins par des personnes physiques ou par des personnes morales elles-mêmes détenues pour 75 % au moins par des personnes physiques.

Bonne journée

Publié dans BSPCE | Commentaires fermés sur Quelles sont les sociétés concernées par les BSPCE ?

Stock-options et régime matrimonial

5/5 - (8 votes)

Régime matrimonial communautaire

L’exercice des droits est attribué au titulaire des options, la valeur patrimoniale des options relève de la communauté.

La date de la levée de l’option détermine le caractère commun ou propre des stock-options. Il ressort des arrêts de la Cour de cassation (Cass. Civ. 1ère 09 juillet 2014 et Cass. civ. 1 du 25 octobre 2023, n°21-23139) que lorsqu’elles ont été attribuées au cours du mariage :

  • sont communes les stock-options levées avant le jour de la dissolution du régime matrimonial ;
  • sont propres les stock-options levées après le jour de la dissolution du régime matrimonial.

De la part de www.joptimiz.com, assistance fiscale en ligne

Publié dans Fiscalité stock-options | Commentaires fermés sur Stock-options et régime matrimonial

Imputation des moins-values sur stock-options, actions gratuites et BSPCE

5/5 - (4 votes)

Les moins-values subies au cours d’une année (N) sont imputables prioritairement sur les plus-values de même nature (de source française ou étrangère) réalisées au cours de la même année (N), puis sur celles des 10 années suivantes (N+10).

L’imputation des moins-values est possible en cas d’imposition au PFU ou en cas d’option au barème progressif.

Les plus-values et moins-values de même nature, susceptibles de se compenser, sont celles mentionnées à l’article 150-0 A du CGI, notamment les plus-values et moins-values :

  • de cession de valeurs mobilières et droits sociaux soumises au barème progressif
  • imposables au taux de 12,8 %, ou, sur option globale, au barème progressif de l’impôt sur le revenu, à la clôture d’un PEA ou d’un PEA-PME d’une durée inférieure à 5 ans.
  • constatées lors de la cession d’actions gratuites ou d’actions issues de la levée d’options sur titres (attribution avant le 20 juin 2007) ;
  • de cession de bons de souscription de parts de créateur d’entreprise (BSPCE).

L’administration précise qu’aucune moins-value de cession de valeurs mobilières et de droits sociaux réalisée n’est imputable, pour le calcul de l’IR et les prélèvements sociaux, notamment sur :

  • les plus-values professionnelles prises en compte dans les bénéfices professionnels du contribuable ;
  • les gains de levée d’options sur titres, pour les options attribuées depuis le 20 juin 2007, ainsi que les gains d’acquisition d’actions gratuites, sous réserve des moins-values de cession d’actions issues de la levée d’options ou attribuées gratuitement.

Bonne journée

 

Publié dans Action gratuite, BSPCE, Fiscalité stock-options | Commentaires fermés sur Imputation des moins-values sur stock-options, actions gratuites et BSPCE

Stock-options : quand s’applique la contribution salariale ?

Rate this post

Stock-options : quand s’applique la contribution salariale ?

Depuis le 16 octobre 2007, les gains issus de la levée d’options sur titres — autrement dit, les stock-options — peuvent être soumis à une contribution salariale spécifique. Mais cette obligation dépend de plusieurs critères liés au régime fiscal et à la situation du bénéficiaire.

Qui doit payer la contribution salariale ?

La contribution salariale est due par les bénéficiaires de stock-options soumis au régime fiscal spécifique applicable à ces dispositifs, à condition qu’ils soient affiliés à un régime obligatoire français d’assurance maladie au moment de la cession des titres.

Elle s’applique quelle que soit la modalité d’imposition des gains :

Imposition au taux forfaitaire ;

Ou imposition selon les règles de droit commun des traitements et salaires, que ce soit sur option ou de plein droit.

Les cas d’exclusion

Certains gains échappent à cette contribution salariale :

Les stock-options attribuées dans un cadre non conforme au Code de commerce (plans dits « non qualifiés ») ;

Les titres cédés, convertis au porteur ou loués avant la fin de la période d’indisponibilité légale ou fiscale :

Cette période est de 4 ans à compter de l’attribution de l’option ;

Ou correspond à la période de conservation juridique ou fiscale applicable aux actions gratuites, si elle est plus longue.

Dans ces situations, les avantages perçus sont considérés comme un complément de salaire. Ils sont donc imposés comme des traitements et salaires et soumis aux contributions sociales classiques sur les revenus d’activité.

Publié dans Fiscalité stock-options, Social | Commentaires fermés sur Stock-options : quand s’applique la contribution salariale ?

La taxation de la plus-value de BSPCE en 2025

5/5 - (1 vote)

Les Bons de Souscription de Parts de Créateur d’Entreprise (BSPCE) confèrent aux salariés de certaines jeunes entreprises le droit de souscrire des titres de la société dans laquelle ils travaillent, à un prix fixé lors de leur attribution (ce prix d’exercice est souvent inférieur à la valeur réelle).

Les BSPCE ne peuvent pas figurer ni sur un plan d’épargne salariale (PEE notamment), mais peuvent depuis le 15 juin 2024 figurer sur un PEA.

Il existe d’autres régimes comme celui des stock-options ou des actions gratuites.

La taxation de la plus-value de BSPCE

La loi de finances pour 2018 a modifié le régime fiscal des gains de BSPCE réalisés lors de la cession des titres souscrits en exercice de bons de souscription de parts de créateur d’entreprise (BSPCE).

Ainsi, le régime fiscal des gains de BSPCE attribués à compter du 1 er janvier 2018 est le suivant :

  • Lorsque le bénéficiaire exerce son activité dans la société depuis 3 ans ou plus : les gains sont soumis au taux forfaitaire d’impôt sur le revenu de 12,8 % , auquel s’ajoutent les prélèvements sociaux au taux de 17,2 % . Ces gains pourront bénéficier du nouvel abattement fixe prévu pour les dirigeants partant en retraite. Le bénéficiaire pourra également opter pour l’imposition au barème progressif de l’IR.
  • Lorsque le bénéficiaire exerce son activité dans la société depuis moins de trois ans à la date de la cession : les gains sont soumis à l’impôt sur le revenu dans la catégorie des traitements et salaires, et ainsi soumis au barème progressif de l’impôt sur le revenu au taux de 30% (plus prélèvements sociaux).

Au fait … saviez-vous que vous pouvez calculer le montant de votre impôt sur la vente de vos Management Packages grâce à notre simulateur ManPack gratuit !

Publié dans BSPCE | Commentaires fermés sur La taxation de la plus-value de BSPCE en 2025

Zoom sur les ESPP !

Rate this post

Zoom sur les ESPP

Les Employee Stock Purchase Plans (ESPP) sont des dispositifs permettant aux salariés d’acquérir des actions de leur entreprise à un tarif avantageux, généralement via une retenue sur leur salaire. Si ce mécanisme est courant dans les groupes internationaux, son traitement fiscal en France dépend de plusieurs critères… et peut réserver quelques surprises.

ESPP et fiscalité française : pas toujours un régime de faveur

En France, les ESPP ne bénéficient pas automatiquement d’un régime fiscal avantageux. Pour prétendre à un traitement favorable, ils doivent répondre aux conditions strictes applicables aux stock-options ou aux attributions gratuites d’actions (AGA).

ESPP mis en place par une entreprise française : le cas du plan qualifié

Lorsqu’un ESPP est proposé par un employeur basé en France, il est essentiel de vérifier si le plan respecte les critères d’un « plan qualifié » de stock-options. Si tel est le cas, les actions acquises peuvent bénéficier du même régime fiscal et social que les stock-options classiques. Un échange avec l’employeur est souvent nécessaire pour clarifier ce point.

ESPP proposé par une entreprise étrangère : quelles conditions ?

Un plan étranger peut également être considéré comme « qualifié » en France, à condition que :

Le salarié exerce dans une entité française du groupe ;

Le lien entre l’entreprise qui attribue les actions et celle qui emploie le salarié soit conforme aux exigences du BOFiP ;

Les modalités d’attribution respectent les règles applicables aux stock-options.

 ESPP non qualifié : quelles conséquences fiscales ?

Si le plan ne remplit pas les conditions d’un plan qualifié :

Le prix d’acquisition et le rabais sont imposables comme des traitements et salaires, soumis aux cotisations sociales mais exonérés de la contribution salariale.

Ces montants entrent dans l’assiette de la retenue à la source, avec une déduction forfaitaire de 10 % pour frais professionnels (aucune déduction pour frais réels possible).

Ils sont également pris en compte dans le calcul du plafond de déduction PER pour l’année suivante (CGI art. 163 quatervicies).

En cas de revente des actions, la plus-value sera imposée selon le régime de droit commun, avec un prix d’acquisition majoré du rabais déjà imposé.

Publié dans ESPP et RSU | Commentaires fermés sur Zoom sur les ESPP !

Stock-options émis après le 28 septembre 2012 … Quelle fiscalité ?

4.6/5 - (7 votes)

La plus-value d’acquisition est imposée au titre de l’année de cession des titres issus de la levée de l’option, selon des modalités qui diffèrent en fonction de la date d’attribution des options, et, pour les plans attribués avant le 28 septembre 2012, selon la durée de conservation des titres et le montant du gain ainsi réalisé.

Il existe d’autres régimes comme celui des BSPCE ou des actions gratuites.

La taxation de la plus-value d’acquisition

La loi de finances pour 2013 a entièrement réformé le cadre fiscal des gains réalisés dans le cadre de plans attribués à compter du 28 septembre 2012.

Dans ce nouveau régime fiscal, les gains de levée d’option sont désormais toujours imposés selon les règles de droit commun applicables aux traitements et salaires.

La plus-value d’acquisition correspondant à la différence entre la valeur réelle de l’action à la date de levée de l’option et le prix de souscription ou d’achat de cette action est imposé dans la catégorie des traitements et salaires.

Le gain est donc soumis directement au barème progressif de l’IR.

Il supporte également les prélèvements sociaux au titre des revenus d’activité, c’est-à-dire au taux de 8 %. La CSG devient partiellement déductible, à hauteur de 5,1 points (à l’instar des autres revenus de capitaux à compter de 2012).

L’éventuelle moins-value issue de cessions de stock-options et d’actions gratuites peut s’imputer sur le gain de levée d’option ou d’acquisition d’actions gratuites correspondant.

Au fait … saviez-vous que vous pouvez calculer le montant de votre impôt sur la vente de vos Management Packages grâce à notre simulateur ManPack gratuit !

Imposition du gain tiré de la cession des actions

La plus-value correspondant à la différence entre le prix de cession et la valeur des actions le jour de la levée de l’option est imposable selon le régime des plus-values mobilières (soit 30%).

Réforme des Management packages en 2025

Suite à la Loi de finances 2025, le régime des Management packages dont les Stock-options, Actions gratuites est aménagé …

Le principe pose que par défaut, tous les gains réalisés par un salarié ou dirigeant sur les titres de son entreprise ou d’une entreprise liée, sont imposés comme des salaires.

C’est la règle générale qui s’applique quand ces gains sont liés à leur fonction dans l’entreprise.

Par exception une partie de ces gains peut toutefois être imposée selon le régime des plus-values mobilières, mais uniquement dans une certaine limite.

En application de ce régime dérogatoire le gain net sur les titres est imposé dans la limite d’un plafond déterminé par un multiple de la performance financière de la société.

Ce multiple de performance est fixé à 3 fois le ratio entre :

– La valeur réelle de la société émettrice à la date de cession (ou lors de toute autre opération taxable),

– La valeur réelle de la société à la date d’acquisition ou de souscription (ou, pour les actions gratuites, à leur attribution).

Ainsi le gain est plafonné dorénavant à 3 fois la création de valeur relative de l’entreprise pour bénéficier du régime des plus-values, et au-delà, serait considéré comme un salaire.

Publié dans Fiscalité stock-options | Commentaires fermés sur Stock-options émis après le 28 septembre 2012 … Quelle fiscalité ?

Fiscalité des BSPCE applicable en France aux bénéficiaires expatriés

Rate this post

Fiscalité des BSPCE applicable en France aux bénéficiaires expatriés

Lors d’une modalité internationale du bénéficiaire de BSPCE, seul est susceptible de constituer un gain salarial, nommé gain d’exercice, la fraction du gain net correspondant à la différence entre la valeur du titre souscrit au jour de l’exercice du bon et le prix d’acquisition du titre fixé lors de l’acquisition du bon.

Sous réserve que la convention n’en dispose autrement, le gain d’exercice constitue un revenu d’emploi en principe imposable dans l’État d’exercice de l’activité.

Le principe est celui d’une répartition de l’imposition entre les différents états au prorata des périodes d’activité salariée exercées dans chacun des états.

Généralement, l’activité est celle exercée pendant la période de référence, c’est-à-dire celle qui court de l’attribution du bon à la date à laquelle le bénéficiaire est propriétaire du droit d’exercer ce bon, c’est-à-dire lorsqu’il a définitivement acquis ce droit (même s’il ne peut pas l’exercer immédiatement).

La résidence fiscale prise en compte est celle du bénéficiaire au moment du fait générateur de l’imposition, c’est-à-dire au moment de la cession des titres acquis au moyen du bon.

Les gains de cession de bons de souscription de parts de créateurs d’entreprise (BSPCE) sont soumis à une retenue à la source spécifique en France lorsqu’ils sont perçus par des non-résidents.

 

De la part de www.joptimiz.com, assistance fiscale en ligne des expatriés

Publié dans BSPCE | Commentaires fermés sur Fiscalité des BSPCE applicable en France aux bénéficiaires expatriés

Le processus d’attribution des actions gratuites

5/5 - (10 votes)

Le processus d’attribution des actions gratuites

L’allocation des actions gratuites suit un cursus en 3 étapes :

  • La 1ère consiste en la décision d’attribution des actions aux bénéficiaires prise par le conseil d’administration ou le directoire,
  • La seconde est constituée d’une période dite d’acquisition durant laquelle les bénéficiaires ne sont pas encore propriétaires des actions. Cette période voit sa durée fixée par l’assemblée générale extraordinaire (AGE) et est au minimum de 1 an pour les actions attribuées par une décision de l’AGE postérieure au 7 août 2015 (2 ans pour les attributions réalisées avant le 7 août 2015)
  • Une 3ème période commence ensuite durant laquelle l’attributaire propriétaire des actions n’a pas la possibilité de procéder à des ventes des actions. La loi « Macron » précise que l’AGE n’est plus tenue de fixer une période de conservation, la durée cumulée (période d’acquisition + période de conservation) devant simplement être au moins égale à 2 ans. Attention la période de conservation ne peut pas être inférieure à 2 ans pour les attributions réalisées avant le 7 août 2015.

La période de conservation écoulée, la cession est tout à fait libre en matière d’actions attribuées dans le cadre d’une société non cotée.

De la part de www.joptimiz.com, assistance fiscale en ligne

Publié dans Action gratuite | Commentaires fermés sur Le processus d’attribution des actions gratuites

Fiscalité des Employee Stock Purchase Plan (ESPP)

5/5 - (1 vote)

Employee Stock Purchase Plan (ESPP)

Les plans ESPP permettent aux salariés d’acquérir des actions de leur entreprise à un tarif préférentiel, via une retenue sur leur rémunération.

En France, ces plans ne bénéficient pas automatiquement d’un régime fiscal avantageux, sauf s’ils remplissent les critères des stock-options ou des actions gratuites attribuées (AGA).

✅ Plan ESPP qualifié mis en place par un employeur français

Lorsque le plan est instauré par une société française, il convient de vérifier – notamment auprès de l’employeur – si les actions respectent les conditions d’un plan qualifié de stock-options. Si c’est le cas, elles bénéficient du même traitement fiscal et social favorable.

Plan ESPP qualifié mis en place par un employeur étranger

Un plan étranger peut également ouvrir droit à un régime favorable si :

  • Le salarié concerné exerce au sein d’une entité française du groupe.
  • Les conditions des plans qualifiés français sont respectées.

Le BOFiP précise les conditions spécifiques à respecter, notamment :

  • Le lien entre l’entreprise étrangère émettrice et l’entité d’exercice du salarié (BOI-RSA-ES-20-10-10 §§ 330-335) ;
  • Les modalités d’attribution des options (BOI-RSA-ES-20-10-10 §§ 340-390).

À noter : Si les actions sont attribuées en contrepartie d’une participation symbolique (prix < 5 % de la valeur réelle), le plan peut être assimilé à un plan étranger d’actions gratuites, sous réserve de respecter toutes les exigences (BOI-RSA-ES-20-20-10-20 § 380 et suivants).

Si ce n’est pas le cas, il convient d’analyser si le régime des AGA étrangères peut s’appliquer à titre subsidiaire.

Plan ESPP non qualifié

Si le plan ne remplit pas les conditions d’un plan qualifié, alors :

  • Le prix d’acquisition et la décote sont imposés comme traitements et salaires au titre de l’année d’acquisition ;
  • Ils sont soumis aux cotisations sociales, mais exonérés de la contribution salariale ;
  • Une déduction forfaitaire de 10 % s’applique (aucune déduction au réel possible).

Ces montants :

  • Sont inclus dans la base de calcul de l’impôt à la source,
  • Sont également pris en compte pour calculer les plafonds de déduction PER au titre des versements N+1 (CGI art. 163 quatervicies),
  • Et la plus-value de cession est imposée selon le régime de droit commun, avec majoration du prix d’acquisition de la décote déjà imposée.
Publié dans ESPP et RSU | Commentaires fermés sur Fiscalité des Employee Stock Purchase Plan (ESPP)