Réponse du gouvernement …

 

Le gouvernement s’est satisfait mardi des propositions des patrons sur la réglementation de leurs « parachutes dorés » et autres stock-options, qui font scandale en pleine tourmente financière, mais à la condition que leurs entreprises y adhèrent d’ici la fin de l’année. 

Rendu public lundi sous la pression directe de Nicolas Sarkozy, le nouveau code de bonne conduite du Medef et l’Association française des entreprises privées (Afep) a reçu le feu vert du Conseil des ministres. 

Mais, pour répondre aux exigences d’une opinion publique outrée par le cas Dexia, le gouvernement a exigé que ces mesures soient publiquement adoptées avant la fin 2008 par toutes les entreprises cotées en bourse, faute de quoi il en passerait immédiatement par un projet de loi. En les présentant mardi devant ses pairs, le ministre du Travail, Xavier Bertrand, cité à l’issue du Conseil par le porte-parole du gouvernement, Luc Chatel, a jugé que les propositions patronales constituaient « le système le plus avancé dans les pays développés en matière d’encadrement des rémunérations de dirigeants » d’entreprises. Nicolas Sarkozy, qui avait promis de « régler le problème » des parachutes dorés lors de son discours de Toulon le 25 septembre, a pour sa part estimé « que ces recommandations répondaient à ses demandes », selon M. Chatel. 

Sur les « parachutes dorés », dont le chef de l’Etat avait promis la suppression pendant sa campagne électorale, la présidente du Medef, Laurence Parisot, a limité lundi le versement aux patrons d’indemnités aux cas de « départ contraint » et l’a catégoriquement exclu « lorsqu’ils ont commis des fautes ou mis leur entreprise en difficulté ». 

Elle a également précisé que ces indemnités de départ ne pourraient en aucun cas dépasser « deux ans de rémunération ». Ce nouveau code prévoit également d’interdire le cumul entre l’exercice d’un mandat social (dirigeant non salarié) et un contrat de travail et de subordonner le versement de « stock-options » aux dirigeants à l’existence de mécanismes d’intéressement de l’ensemble de leurs salariés aux résultats. Deux des principales exigences élyséennes. Le gouvernement a imposé mardi une autre condition: les patrons devront adhérer aux nouvelles pratiques formellement, publiquement et rapidement. 

En détaillant ses propositions, Mme Parisot, hostile à toute loi pour ne pas effrayer investisseurs étrangers ou dirigeants français, s’était contentée lundi de menacer les entreprises réticentes d’une explication devant « le Medef et l’Afep, leurs actionnaires et l’opinion publique ». Une contrainte jugée nettement insuffisante par les pouvoirs publics.

« Le gouvernement souhaite qu’il y ait une adhésion par chaque entreprise, que ce ne soit pas une charte qui reste un grand principe affirmé de manière collective », a insisté mardi Luc Chatel. « Nous aurons donc à la fin de l’année, très clairement, un état de la situation des entreprises qui se seront engagées publiquement ou non », a poursuivi le porte-parole du gouvernement, « si elles ne le font pas, on se réserve la possibilité d’intervenir par la loi ». 

« Ce ne sont pas des accords pour dans dix ans », a insisté Luc Chatel, « c’est là, tout de suite ». Signe de son empressement, le gouvernement a d’ailleurs fait savoir qu’il déposerait un amendement au projet de loi sur les revenus du travail, qui doit être examiné le 27 octobre devant le Sénat, afin que les stock-options « ne puissent plus être réservées à quelques-uns ». 

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Les recommandations de Laurence Parisot

 

 Laurence Parisot a présenté aujourd’hui le code du gouvernement d’entreprise avec plusieurs recommandations et mesures. 

Première recommandation, un dirigeant qui devient mandataire social doit mettre un terme au contrat de travail qui le lie à la société.

Deuxième mesure : la suppression définitive des «parachutes dorés», que l’entreprise ou le dirigeant soit en situation d’échec, mais également si le dirigeant quitte la société à son initiative, s’il change de fonction à l’intérieur du groupe ou s’il peut faire valoir à brève échéance ses droits à la retraite. L’indemnisation, qui ne doit pas excéder deux ans de rémunération, n’est possible qu’en cas de départ contraint et lié à un changement de contrôle ou de stratégie.

Plus largement, la rémunération des dirigeants doit respecter six principes : exhaustivité, équilibre, benchmark, cohérence, lisibilité et mesure. En cas de non-application de ces recommandations, les conseils devront s’expliquer sur leur choix, selon la règle du «comply or explain».  

Laurent parisot : « Quand un conseil d’administration regarde une rémunération, tout doit être examiné. Tout. Aucun des éléments possibles de la rémunération ne doit être mis de côté. Bien sûr le fixe, bien sûr le variable, les bonus, bien sûr les stock-options, mais aussi les retraites supplémentaires, les jetons de présence ou tout avantage particulier. » 

De plus, les régimes de retraite supplémentaire doivent être plus encadrés, tout comme les options d’achat ou de souscription d’actions et les attributions d’actions. Ces dernières devant être soumises à des conditions de performance pour les dirigeants. Le patronat demande aussi l’interdiction de tout instrument de couverture des options et une durée minimum de conservation des actions acquises. 

En savoir plus : http://www.medef.fr/main/core.php

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Dépêche : La rémunération des dirigeants …

Le Medef va présenter lundi ses propositions ! 

Le Medef va présenter lundi ses propositions sur la rémunération des dirigeants, quelques jours après les annonces du gouvernement français et de l’Union européenne sur leur volonté d' »encadrer » les parachutes dorés, de nouveau au coeur d’une polémique.

Bon week end 

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Parachutes dorés … suite

Lors de son discours de Toulon, Nicolas Sarkozy avait menacé de légiférer d’ici à la fin de l’année sur les rémunérations des dirigeants et opérateurs du monde de la finance si ces derniers ne parvenaient pas à un accord sur des «pratiques acceptables». Hier , lors du Conseil des ministres, il a indiqué «qu’il souhaitait très rapidement l’adoption d’un texte encadrant le système des parachutes dorés», a dit le porte-parole du gouvernement, Luc Chatel lors du compte rendu du Conseil.

 

«Le Président souhaite que ça se traduise très concrètement par un projet de loi dans les prochaines semaines», a-t-il ajouté.

«Le gouvernement considère que c’est choquant lorsqu’il y a des difficultés qu’il y ait ce type de parachutes», a dit Luc Chatel. «Gagner à tous les coups, ce n’est pas être responsable», a-t-il ajouté. Le porte-parole a d’ailleurs précisé que le départ des dirigeants de Dexia avait été l’une des conditions mise dans la balance avant toute intervention.

Le président de la Commission des finances du Sénat, Jean Arthuis (UC-UDF), a estimé de son côté «qu’il serait temps quand même que les hauts dirigeants se dotent d’un minimum d’éthique pour nous aider à aimer l’entreprise et l’esprit d’entreprise. (…)

Si on réglemente il faut que ce soit sur un espace économique suffisamment large, donc l’Europe.» Xavier Bertrand, le ministre du Travail avait estimé dimanche que la réglementation de la rémunération des patrons devrait passer par une loi pour les aspects fiscaux et sociaux. Il avait aussi souhaité que l’ex-directrice générale d’Alcatel-Lucent Patricia Russo rembourse le «parachute doré» de 6 millions d’euros consenti après son départ en juillet, en pleine déroute financière de sa société. 

A suivre …

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Quelle stratégie reste t’il ?

 

Que faire actuellement ? s’il vous reste (encore !) quelques plus values sur stock-options, il peut être intéressant fiscalement de lever vos options si vous avez parallèlement enregistré des moins-values sur vos portefeuilles titres (en achat-vente par exemple).

En effet, les moins-values mobilières s’imputent sur la fraction de la plus-value d’acquisition de vos stock-options taxable aux taux de 18 % et 30 %. 

Par contre naturellement, il faudra également céder les titres issus de la levée en dépassant le seuil global annuel de 25.000 euros (titres en portefeuille + titres issus de la levés et qui sont cédés) pour pouvoir imputer la même années plus et moins values générées. 

Ceci est également valable pour vos PEA qui sont en moins value, qu’ils soient détenus depuis moins de 5 ans mais également depuis plus de 5 ans (sous certaines conditions).

Concernant ces derniers, les pertes dégagées à l’occasion de la clôture d’un PEA de plus de cinq ans depuis le 1er janvier 2005 sont imputables sur les plus-values et profits de même nature réalisés au cours de la même année ou des dix années suivantes (donc également sur les plus et moins value issues de la levée de vos options). 

Pour pouvoir imputer fiscalement la perte réalisée sur un PEA de plus de cinq ans, les conditions suivantes doivent être remplies :

  • le plan doit être clos,
  • à la date de la clôture, le plan doit dégager une perte globale,
  • à la date de la clôture, les actifs du plan doivent avoir été totalement liquidés.  

Attention, naturellement dans tous les cas, il faudra attendre la fin de la durée d’indisponibilité fiscale de vos stock-options !

 

Bonne journée

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RSA : MPF et communistes veulent une taxation des stock-options

 

Les députés communistes et ceux du Mouvement pour la France (MPF, parti de Philippe de Villiers) ont demandé, jeudi, alors que débute l’examen du projet de loi sur le Revenu de solidarité active (RSA), que le dispositif soit financé par une taxation des stock-options.  « Les députés MPF souhaitent que le nouveau dispositif soit financé par une baisse de la fiscalité sur les plus values d’acquisition des stock-options », indiquent les deux députés MPF dans un communiqué. Cela permettrait selon eux que « le poids du financement du RSA ne soit pas porté par les plus petits épargnants de la classe moyenne, mais par les détenteurs des stocks-options. » 

De leur côté, les députés communistes ont annoncé dans un communiqué qu’ils déposeraient un amendement au texte pour demander « la taxation des stock-options pour financer le RSA ».  

« Il s’agit ainsi d’asseoir le financement du RSA sur un authentique dispositif d’imposition du capital », écrivent-ils. Le député UMP Damien Meslot a lui aussi proposé récemment de « mettre fin à la taxation privilégiée des stock-options » plutôt que d’instaurer une taxe (1,1%) sur les revenus du capital et de l’épargne. 

A noter naturellement hier le discours de Nicolas Sarkosy. Il s’en est pris aux parachutes dorés, stock-options et autres bonus : « je n’hésite pas à dire que les modes de rémunération des dirigeants et des opérateurs doivent désormais être encadrés. Il y a eu trop d’abus, trop de scandales. Ou bien les professionnels se mettent d’accord sur des pratiques acceptables, ou bien le gouvernement de la République règlera le problème par la loi avant la fin de l’année. . »

Que du bonheur à venir !

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Dépêche AFP : Le Medef va recommander la suppression des parachutes dorés

 

Le Medef va recommander dans les prochains jours la suppression des parachutes dorés pour les chefs d’entreprise afin de « remettre de la responsabilité dans l’ensemble du système », a indiqué jeudi sur France Inter sa présidente, Laurence Parisot. 

« Je sais que le comité éthique du Medef va recommander la suppression des parachutes dorés », a-t-elle déclaré, précisant que c’était « une question de jours ». 

« Si nous voulons remettre de la responsabilité dans l’ensemble du système, ça doit se faire partout dans le monde en même temps », a expliqué la présidente de l’organisation patronale. Mme Parisot a dit qu’elle allait proposer à ses homologues patronaux des pays membres du G8 d’organiser « dans le mois qui vient » une réunion exceptionnelle pour les « convaincre » et les « sensibiliser » sur ce dossier. 

« Je pense qu’on ne peut pas en soi déterminer un plafond maximum de toutes les rémunérations dans le monde; ce que je n’accepte pas, c’est qu’il puisse y avoir des rémunérations qui ne correspondent pas aux performances, des rémunérations élevées en face d’échecs évidents », a-t-elle encore souligné. 

Interrogée pour savoir si elle avait abordé cette question lors de sa rencontre avec le président Nicolas Sarkozy mercredi soir, comme plusieurs journaux l’affirment jeudi, Mme Parisot s’est bornée à évoquer les prochaines propositions du comité d’éthique. 

Selon l’Elysée, Nicolas Sarkozy a évoqué mercredi avec la présidente du Medef « la situation économique de la France » et « les projets de réforme ». 

Lors de son déplacement lundi et mardi à New York, le chef de l’Etat avait été interrogé par des journalistes pour savoir s’il tiendrait sa promesse électorale de supprimer les parachutes dorés. 

« J’ai toujours été opposé à un système qui fait qu’avant même qu’on ait commencé, on soit assuré, quels que soient les résultats, qu’on ne prend pas de risque », avait-il alors répondu. 

« Moi les grandes rémunérations, je n’ai aucun problème. A une seule condition, c’est qu’elles rémunèrent des grands risques. Or le parachute doré c’est quoi ? C’est un système où si vous réussissez, on gagne un bonus, si on échoue, on a un bonus aussi. Ce n’est pas compatible avec l’économie de marché », avait-il dit. 

Le président de la République devait prononcer jeudi soir à Toulon un discours de politique économique. Les énormes indemnités de départ touchées par certains patrons, quel que soit leur bilan, ont suscité une vive polémique ces derniers mois, notamment les 6 millions d’euros évoqués au moment de la démission de la directrice générale d’Alcatel-Lucent, Patricia Russo.

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Projet d’aménagements de la participation et de l’intéressement

 

Le ministre du travail a présenté le 23 juillet 2008 en Conseil des Ministres, le projet de loi en faveur des revenus du travail.

Ce projet a pour but, entre autre, de promouvoir l’intéressement et la participation.  

En voici quelques mesures :

En matière d’intéressement, afin d’inciter toute les entreprises à mettre en place ou améliorerl’intéressement, le projet de loi prévoit un crédit d’impôt au bénéfice des entreprises qui répondraient aux conditions suivantes :

  • les entreprises devront conclure un accord d’intéressement à compter de la publication de la loi, et au plus tard, à la fin de 2014 ;

  • ou les entreprises devront conclure un avenant à l’accord d’intéressement en cours à la date de publication de la loi pour permettre d’augmenter le volume des primes distribuables.

Le crédit d’impôt serait alors égal à 20 % de la différence entre le montant des primes dues en application du nouvel accord d’intéressement et la moyenne des primes dues au titre de l’accord précédent ou des primes dues au titre de l’exercice lorsqu’il s’agit du premier accord.

Par ailleurs, une entreprise qui conclurait un accord entre la date de publication de la loi et le 30 juin 2009 aurait la possibilité de verser, avant le 30 septembre 2009, une prime exceptionnelle et collective plafonnée à 1500 € par salarié qui serait exonérée de cotisations de sécurité sociale. Cette prime entrerait dans la base de calcul du crédit d’impôt. Concernant la participation, le projet de loi supprime le principe de l’indisponibilité de la participation pendant une durée minimale de 5 ans. Les salariés bénéficiaires de laparticipation auraient donc le choix d’opter pour les prochains versements entre :

  • le versement immédiat sur demande des sommes qui seraient alors assujetties à l’impôt sur le revenu ;

  • et le placement des capitaux sur un plan d’épargne salariale pour une durée minimale de 5 ans ouvrant droit à une exonération d’impôt sur le revenu.

Bonne journée

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Précisions sur le régime fiscal des dividendes

 

L’administration fiscale a publié récemment 2 instructions commentant le nouveau régime d’imposition des revenus de capitaux mobiliers.

 

En effet, la loi de Finances pour 2008 a modifié le régime fiscal et social des revenus distribués perçus par les personnes physiques à compter du 1er janvier 2008.

 

La loi a tout d’abord instauré la possibilité d’opter pour un prélèvement forfaitaire libératoire (PFL) sur les revenus de capitaux mobiliers à un taux de 18 %. Il est ainsi précisé que l’option doit être exercée par le contribuable au plus tard à la date d’encaissement des revenus et qu’elle peut porter sur toute la distribution ou sur une partie seulement.

Attention, en cas d’option partielle, le contribuable ne bénéficie alors pas des abattements d’assiette et du crédit d’impôt pour la partie des revenus imposés à l’impôt sur le revenu selon le barème progressif ! 

Enfin, ces mêmes revenus sont également assujettis aux prélèvements sociaux sur les produits de placement au taux global de 11 %. La CSG acquittée à la source sur ces revenus n’est alors pas déductible du revenu global.

Ceci naturellement concerne également vos options levées. Faîtes le bon choix !

Bonne journée

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Suite … des niches fiscales

Le gouvernement est ouvert à un plafonnement global des niches fiscales pour financer une partie du Revenu de solidarité active (RSA), a déclaré mardi le ministre du Budget Eric Woerth devant les députés UMP. « Je suis prêt à examiner toutes les propositions des parlementaires en ce sens », a dit M. Woerth à l’issue d’une réunion avec les députés UMP sur le financement du RSA, à laquelle participait aussi Martin Hirsch, Haut commissaire aux solidarités actives contre la pauvreté.

La décision de Nicolas Sarkozy de financer le RSA, destiné à inciter les bénéficiaires de minima sociaux à reprendre un travail, par une taxe de 1,1% sur les revenus de l’épargne passe toujours mal dans la majorité.

Beaucoup déplorent notamment que les contribuables bénéficiant du bouclier fiscal (qui limite à 50% des revenus l’ensemble des impôts) soient exonérés de la nouvelle taxe. 

Le président UMP de la Commission des Affaires sociales de l’Assemblée Pierre Méhaignerie a donc proposé un plafonnement global des niches fiscales. « Je suis prêt à être ouvert sur toute idée qui apporte un vrai financement », a répondu Eric Woerth.

« Le plafonnement global des niches fiscales, c’est une manière de répondre à la critique sur le bouclier fiscal, mais ce n’est pas une mesure de financement », a cependant ajouté le ministre du Budget. Selon lui, le plafonnement rapporterait « 100, 200 millions d’euros », alors que le RSA coûtera 1,5 milliard d’euros par an. 

Eric Woerth a exclu toute exception au bouclier fiscal. « On ne s’affranchira pas du bouclier fiscal. Le bouclier fiscal, c’est un principe. On l’a fait passer à 50%, ce n’est pas pour le faire passer à 51% », a dit le ministre du Budget. Cette ligne a été arrêtée mardi matin à l’Elysée lors du petit déjeuner hebdomadaire de la majorité.

Selon un participant, les responsables de la majorité sont tombés d’accord sur l’idée de plafonner les niches fiscales qui ne le sont pas encore. Les modalités de ce plafonnement des niches fiscales n’ont pas été arrêtées. Une nouvelle réunion est prévue mercredi à 11h avec les mêmes participants. 

Les députés UMP ne sont pas les seuls à critiquer le financement du RSA par un nouvel impôt. Leurs collègues du Nouveau centre demandent aussi que la nouvelle taxe soit exclue du bouclier fiscal. « Si on reste là-dessus, on ne votera pas le texte », prévient Jean Dionis du Séjour.

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